Jah Maaz

Oh man rentrer tard, espacer le sommeil
Je rêve debout, j’vois passer le soleil
Oh man marche de travers
Sale démarche je vois pas ces sommes hey
Manque des chiffres, je dois taffer pour ma part, faut ma part (x2)

Faut ma part
Trous dans mes poches et dans ma paire oh
Les potes réussissent rien à part l'apéro

Tise en boucle, parcourt la ville en bandes à part
Six du mat j’ai mal au bide comme Bonaparte

Merde on s'en rappelle au bord du gouffre les souris dansent sur Jello
Quit à vivre je vais profiter de la force en plus en moi quand le drum kit frappe la mélo

Dis moi qui vit plus, dis moi ce qui me mèle oh
Faut ma part j'étudie pièce de musique fuego

Oh man rentrer tard, espacer le sommeil
Je rêve debout, j’vois passer le soleil
Oh man marche de travers
Sale démarche je vois pas ces sommes hey
Manque des chiffres, je dois taffer pour ma part, faut ma part (x2)

Bkay

Une autre aiguille dans la poupée, « Salut mon chum what’s poppin’», encore l’envie de me pousser, encore la tête dans le passé

On s’est tous chicané pour des deuces, yeah, autre époque, hell yeah, autre époque, same thang, si le feux brûle essaie de l’éteindre

Différents visages selon mood, yeah, same thang, ain't no money in the bank
Man on s’aime d’instinct, got to fill up the blank
Gotta hop on the TANK, puis arrêter de se plaindre

Shift de plonge dans mon agenda, broyer du noir le monde arrête pas, Club Soda, Vice, Francouvertes mais je me retrouve chaque jour devant mon arrêt de bus

Un tas d’idées construites qu’on a gardé comme des cendres, le vaudou qui t’a joué rime avec tant d’incandescence
Y’est l’temps qu’on scande détente, tantôt dans un rêve, faites que tantôt soit demain

Mais pour l’instant on move
Ensemble to the moon
OMEN dans le boot
OMEN jusqu’au bout yeah (x2)

Jah Maaz

Oh man rentrer tard, espacer le sommeil
Je rêve debout, j’vois passer le soleil
Oh man marche de travers
Sale démarche je vois pas ces sommes hey
Manque des chiffres, je dois taffer pour ma part, faut ma part (x2)

Mantisse

Patiente main invisible, puise le deuil au coeur de l’iris, si on peut s’épargner l’hérésie
Maudit qu’ça m’fait sourire malgré l’excès d’acide lactique, un panier de rotin chargé, de gear intergalactique

L’haleine est fraîche sans pastille quand on shape l’avenir en Rodin, oublie donc qu’on perd les rennes à peine frôlé son épiderme

Givre embrasse mon humeur, une tumeur qu’on a omis, cracher sur la vie à force de vomir de toutes les couleurs

Faire fi de la douleur la seconde passée comme seule prix, le merle a perdu son bec pour l’échanger contre une pièce vide